7 anecdotes fascinantes sur l'ile de Brač

En Croatie, de nombreuses îles peuplées abritent sur leur sol une ville portant le même nom. Sur Krk, se trouve la ville de Krk, sur Pag, la ville de Pag, sur Cres, la ville de Cres ; cependant sur Brač, il n’existe pas de ville de Brač. Supetar et Bol sont les plus grandes localités de l’île.

Les prêtes ermites ont vécu pendant quatre siècles dans un monastère ancré sur les versants abrupts de l’un des sites les plus captivants de l’île de Brač, le désert de Blaca. C’est seulement en 1963, avec le décès du dernier administrateur, Nikola Miličević, que cette tradition s’est éteinte.

Bien que cela ne soit pas établi avec certitude, Brač signifierait « cerf ». Les Grecs l’appelaient « Elapahusa », « elaphos » étant le terme grec utilisé pour désigner le cerf. Le terme utilisé par les premiers habitants de la région, les Illyriens, pour désigner cet animal était « brentos ».

Le massif de Vidova gora qui, avec ses 780 mètres d’altitude, constituent le sommet le plus élevé de l’archipel adriatique, se situe sur l’île de Brač. Il propose une vue phénoménale sur les îles environnantes ; lorsque la visibilité est bonne, on peut même apercevoir l’Italie.

Zlatni rat, située à Bol sur l’île de Brač, et dont toute la beauté est perceptible depuis les airs, est la plage croate la plus connue. Cependant, une autre curiosité est perceptible depuis les airs : en effet, cette plage change fréquemment de forme en fonction des conditions météorologiques.

L’île de Brač est l’une des deux îles croates qui disposent de leur propre aéroport. L’aéroport, qui se situe à côté de Bol, est accessible depuis une dizaine de destinations européennes.

L’île de Brač accueille 116 églises, ce qui en fait probablement l’île la plus religieuse de la Méditerranée. Petites et grandes, anciennes ou plus récentes, les églises, en plus de satisfaire les besoins religieux de la population locale, sont très attrayantes pour les touristes.